La détection précoce des troubles respiratoires des jeunes bovins est essentielle pour augmenter le taux de guérison et réduire leurs conséquences économiques.
Les signes avant-coureurs n’étant pas toujours aisés à repérer visuellement, une étude originale a testé les capacités olfactives de chiens à détecter très tôt l’inflammation générée par les maladies pulmonaires. Pour ce faire, des prélèvements nasaux et salivaires leur étaient donnés à sentir.
Les performances de détection de l’inflammation sont variables selon les chiens. Mais certains obtiennent de très bons résultats, ce qui semble indiquer que la technique est prometteuse. A l’instar, par exemple, de l’utilisation concluante de chiens pour détecter les personnes infectées pendant les épisodes de COVID.
Source : Juge A., Frontiers, 2024.
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