Les infections mammaires, cliniques ou subcliniques, sont associées à une forte réponse immunitaire caractérisée par une élévation de la concentration du lait en cellules somatiques.
Les vaches ayant un taux cellulaire élevé au moment du tarissement (> 200 000 cellules / ml) risquent davantage de développer des maladies après vêlage (rétention placentaire, métrite, boiteries).
Elles produisent également moins de lait sur les 60 premiers jours de lactation.
Au moment du tarissement un contrôle de l’évolution des taux cellulaires sur les 3 mois précédents est nécessaire afin d’adapter la stratégie de traitement et réduire les risques de maladies en début de lactation.
Source : Egyedy A, Veterinary Science, 2022.
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