Reproduction

Au démarrage de la lactation, la maitrise des paramètres de santé est impérative si l’on veut optimiser les performances de reproduction. Selon une étude récente, les maladies du début de lactation (non-délivrance, métrite et mammites) sont associées à : La maitrise des facteurs de stress, de l’hygiène et des apports nutritionnels autour du vêlage contribue […]

Les maladies respiratoires contractées par les jeunes génisses ont des répercussions sur leurs futures performances de reproduction. 

Les bovins ne sont pas considérés comme des animaux à reproduction saisonnière. Cependant le cycle quotidien lumière-obscurité a tout de même une influence sur leurs performances de reproduction.

En France, l’intervalle entre chaleurs le plus fréquent en race Holstein est de 21 jours. Mais la moyenne des retours est observée à 22 jours car il y a beaucoup plus de vaches avec des intervalles de 23 à 25 jours qu’entre 19 et 20 jours.

Un état corporel satisfaisant au moment de la mise à la reproduction est un facteur de réussite de l’IA.

Les infections utérines décelées en début de lactation ont des conséquences défavorables sur les performances de reproduction ultérieures.

Rappelons qu’en fonction de la saison, différents paramètres évoluent (alimentation, température, luminosité, etc.), qui peuvent agir sur la reprise de cyclicité. Néanmoins, il n’a pas été noté, dans cette étude, de différence de fécondité (intervalle Vêlage-IA fécondante) selon les saisons.  Source : Sakaguchi M., Journal of Reproduction and Development, 2022.

La solution : 6 à 8 mois de contacts maîtrisés avec les parasites. Ce temps d’exposition permet au jeune bovin de construire une immunité naturelle durable.

Les outils de monitoring sont largement utilisés pour la détection des chaleurs. Leur efficacité n’est plus à démontrer.​