
Pour limiter les effets du stress thermique, la conduite du troupeau et la stratégie alimentaire peuvent être adaptées. La sélection génétique semble pouvoir être utile également.
Les scientifiques travaillent à la détermination de gènes qui contribueraient à une meilleure tolérance à la chaleur chez les vaches laitières.
C’est le cas du gène « slick » (lisse), dont les animaux porteurs naissent avec un pelage aux poils courts et lisses. Chez ces animaux, les glandes sudoripares sont plus développées, ce qui permet de mieux lutter contre l’effet de la chaleur.
Source : Hansen P, Theriogenology, 2020.
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