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Il en ressort que : Elever les veaux avant sevrage en groupe (2 ou plus) tout en mettant à leur disposition des objets de ‘divertissement’ contribue fortement à leur bien-être et donc à l’expression de leur potentiel. Source : 2022, Zhang C., Journal of Dairy Science.

Chez le veau, la concentration en protéines sanguines (CPS) est bien corrélée à la quantité d’immunoglobulines sanguines et donc à son immunité. En effet, une étude américaine confirme que le CPS mesuré à 3 jours d’âge constitue un très bon indicateur de la santé et la croissance futures. Les troubles de santé ont été moins … Lire la suite

En septembre, le nombre de mouches est à son maximum ! C’est aussi une période avec davantage de naissances : >> protégez les petits veaux !

Lorsque la température extérieure augmente, le comportement des veaux élevés en niches extérieures est modifié. Un stress s’installe, l’ingestion baisse et la croissance ralentie. Quand la température extérieure dépasse 21°C, le rythme respiratoire et la température rectale des veaux commencent à dépasser les valeurs normales. Pour le confort thermique des veaux, différentes mesures sont recommandées … Lire la suite

Une revue scientifique confirme l’importance de la mise à disposition d’eau dès les premiers jours de vie du veau :​ ➡️ Des veaux non abreuvés au cours des 17 premiers jours de vie consomment 6 % de lait en moins sur cette période.​ ➡️ La privation d’eau sur le 1er mois de vie réduit la prise … Lire la suite

L’acidose métabolique chez le nouveau né (excédent de composés acides dans le sang) résulte de la déshydratation et de l’insuffisance respiratoire.

Le risque de maladies chez les veaux augmente quand les mères ne sont pas dans des conditions optimales pour mettre bas. En particulier en cas de densité trop élevée dans l’aire de vêlage.

Les maladies respiratoires sont la deuxième cause de mortalité après les diarrhées chez les veaux non sevrés[1]. Chez les veaux qui survivent, la croissance et les performances de production sont fortement pénalisées !

Les pertes cumulées en cas d’échec de transfert d’immunité sont estimées en moyenne à 60€ / veau laitier et à 90€ / veau allaitant.​ A chaque mise-bas il est recommandé de :​ Source : Raboisson D., Plos One, 2016. 

Pour prévenir les diarrhées du jeune veau, toutes les mesures visant à diminuer la pression d’infection sont bénéfiques. En effet, plus le moment du contact entre le veau et les agents pathogènes est retardé, plus la quantité d’agents pathogènes est faible dans l’environnement, plus le veau est apte à se défendre pour éviter le développement d’une forme clinique. Dans cet objectif, des actions simples s’avèrent bénéfiques :