Le stress thermique subi en fin de gestation a un impact fort sur le fœtus des génisses qui y sont exposées. Une étude récente a examiné les effets à long terme du stress thermique in utero sur la croissance, le développement de la glande mammaire et la fonction ovarienne de la descendance jusqu’à 12 mois d’âge.
Les femelles issues de mères exposées au stress thermique sont plus légères, disposent d’une glande mammaire moins développée et d’un volume de follicule plus faible.

Ces effets observés autour de la puberté apportent un éclairage sur la baisse des performances de production et de reproduction futures chez les génisses soumises au stress thermique in utero.
Source : Davidson B., Journal of Dairy Science, 2025.
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