
BCoV ET
SA PRÉVALENCE
BCoV a été longtemps sous-diagnostiqué.
Lors de diarrhée, les tests rapides sur fèces sont pratiques mais ne permettent de détecter que 60 % des cas de coronavirose digestive (par rapport à la PCR) dans les conditions du terrain.
La recherche du BCoV par PCR en routine est récente en respiratoire, et encore peu réalisée lors de diarrhées.
Ci-dessous, quelques résultats choisis parmi les études récentes réalisées en France.

Importance du BCoV au sein du complexe respiratoire en France. Plus d’un élevage sur deux exposé !
GÉNISSES LAITIÈRES :
+ de 50% exposées avant 6 mois
(Berge et al, 2023 ; Jozan T., 2021)
ENGRAISSEMENT JB :
+ de 80% des jeunes bovins malades après leur arrivée en engraissement
(Vanbergue et al., 2021)
ENGRAISSEMENT JB :
65% des broutards français excréteurs dans les 4 jours qui suivent leur arrivée en Italie
(Padalino et al, 2021)

VACHES ADULTES :
sur 31% des cas de pneumonie sur des vaches autopsiées à Oniris, associé à 1/3 des cas de mannheimiose (Dorso et al., 2021)
Vous ne pouvez pas le trouver si vous ne le cherchez pas dans les bonnes conditions
La plupart des laboratoires d’analyses intègrent maintenant en routine la recherche par PCR Multiplex du BCoV en complément d’autres agents primaires et secondaires du complexe respiratoire bovin.
Comme pour les autres agents primaires tels que le VRSB et le Pi3, il est important que votre vétérinaire puisse prélever 3 à 5 animaux en début d’infection (stade hyperthermie) pour ne pas passer à côté.
Jusqu’à présent en cas de détection, aucune solution n’existait sur le marché.

L’arrivée de Bovilis Nasalgen-C apporte une solution complémentaire sur BCoV permettant d’apporter avec Bovilis INtranasal RSP Live une réponse aux 3 virus a minima initiateurs d’épisodes.
Comment ne pas passer à côté d’un agent primaire : la démarche 3VGRIP
Chaque situation mérite son investigation. Votre vétérinaire prélève 3 à 5 animaux en début d’infection et réalise :
- PCR de mélange (ENP, LBA ou ATT)
- HISTOLOGIE + PCR POUMON lors de mortalité
- SÉROLOGIE lors de prélèvements tardifs
Pour plus de précisions, contactez votre vétérinaire.

L’impact clinique et subclinique des maladies respiratoires est considérable sur la productivité du troupeau.
À l’échographie pulmonaire, le nombre d’animaux avec des lésions pulmonaires est jusqu’à 2 à 3 fois plus important que le nombre d’animaux vus malades.
Ces infections subcliniques peuvent peser lourd sur les indicateurs zootechniques tels que la croissance ou l’efficience alimentaire, l’âge au 1er vêlage, la production et la longévité (risque de réforme précoce).
- Le BCoV fait maintenant partie des agents pouvant être recherchés en routine par PCR Multiplex ou sérologie Elisa.
- Protéger les veaux rapidement contre 3 virus responsables d’épisodes grippaux en les vaccinant avec Bovilis Nasalgen-C et Bovilis Intranasal RSP Live dès la naissance.
Votre vétérinaire vous accompagne pour une meilleure investigation.

Mentions légales
Médicament vétérinaire soumis à ordonnance.
Bovilis Nasalgen-C Lyophilisat et solvant pour suspension pour pulvérisation nasale pour bovins – Médicament vétérinaire indiqué chez les bovins pour l’immunisation active des bovins à partir du jour de la naissance afin de réduire les signes cliniques respiratoires supérieurs et l’excrétion virale nasale de l’infection par le coronavirus bovin. Début de l’immunité : 5 jours. Durée de l’immunité : 12 semaines. Mises en garde particulières : vacciner uniquement les animaux en bonne santé. Les animaux doivent de préférence être vaccinés au moins 5 à 7 jours avant une période de stress ou une pression d’infection accrue. Contre-indications : aucune. Précautions particulières d’emploi : les bovins vaccinés peuvent excréter la souche vaccinale par voie nasale ou par voie orale après la vaccination. Une excrétion a été observée jusqu’à 9 jours suivant la vaccination mais peut persister plus longtemps. La souche vaccinale peut se transmettre à d’autres bovins. La transmission à d’autres espèces n’a pas été étudiée et ne peut être exclue. Il est recommandé de vacciner tous les veaux du troupeau. Des procédures de biosécurité appropriées visant à limiter le risque d’introduction et de propagation de l’infection par le coronavirus bovin dans l’élevage doivent faire partie des outils de prévention. Temps d’attente : zéro jour. Lire attentivement la notice. Demandez conseil à votre vétérinaire. Si les symptômes persistent, consultez-le.
Médicament vétérinaire soumis à ordonnance.
Bovilis® Intranasal RSP Live lyophilisat et solvant pour suspension pour pulvérisation nasale pour bovins – Médicament vétérinaire indiqué chez les bovins pour l’immunisation active des veaux dès le jour de la naissance pour réduire les signes cliniques de maladie respiratoire et l’excrétion virale causées par le virus respiratoire syncytial bovin (VRSB) et le virus parainfluenza 3 (PI3). Mise en place de l’immunité : VRSB : 6 jours (pour les veaux vaccinés à la naissance) ; 5 jours (pour les veaux vaccinés à partir d’une semaine d’âge). PI3 : 1 semaine. Durée de l’immunité : 12 semaines. Contre-indications : aucune. Précautions d’emploi pour l’utilisateur : sans objet. Temps d’attente : zéro jour. Lire attentivement la notice. Demandez conseil à votre vétérinaire. Si les symptômes persistent, consulter votre vétérinaire.
ELV-FR-BOV-241000003 – Janvier 2025 – N° AP 2025/4467